Animaux et société : les relations entre l’homme et l’animal
L’homme conçoit et innove la société et les animaux de compagnies se conforment à cette conception de son milieu naturel. Naturellement, les animaux sont dotés de sens plus ambigus que les hommes. C’est de ce don que ceux-ci parviennent à reconnaître facilement la voix d’une personne, renifler un objet pour savoir si ce serait comestible, décrypter un chemin…
À travers ces différentes réactions, les animaux peuvent communiquer aisément avec l’être humain. Grâce à cette relation, entre l’homme et l’animal naît une sorte d’interdépendance : l’homme devient le maître, s’occupe de l’animal, mais pourrait exploiter les dons de ce dernier. Cela pourrait également apparaître sous le signe d’une affection assez complexe.
L’animal : quelle place lui attribuer dans la société humaine ?
On peut se tromper sur l’estime d’un animal même si dans toutes les circonstances, ce dernier serait celui qui le comprenne le mieux sans apporter de jugement. Attention, on pourrait apprécier un animal de compagnie, mais à certaines limites.
Il ne s’agit pas de bornage absurde, mais seulement une règle de bienveillance. On n’exagèrerait pas sur les méfaits de donner trop d’affection à un chat ou à un chien, mais il faut certainement se limiter et savoir jauger à quel point cela ne serait pas outrancier. En plus, il est évident de savoir mettre les bêtes à leur place, n’ayez pas peur, ils ne seront surtout pas vexés.
Autrement, au XIXe siècle naquit la Société Protectrice des Animaux contre les conditions de vie pénible attribuées aux animaux qui n’ont qu’une valeur utilitaire. Les premières lois de protection de l’animal apparaissent afin de mettre fin à ces mauvaises manières. Toutefois, depuis la mise en vigueur des législations, les autorités restent très modérées dans l’application. Quel avenir social pour les animaux ?
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